jeudi 27 mai 2010

Sous la contrainte de ma main de fer, la douceur de mes vieux jours étudie le Cid.

(En effet, nous nous souhaiterions pas qu'il vieillisse sans un petit vernis de culture française)

(Un PETIT vernis).

Relu par un ado mal embouché, le texte devient terrible.

Mais je suis inflexible, impitoyable et obstinée.

Pauvre enfant.

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